Bol Chantant

6000 ans voir plus d’existence

le bol est l’un des premiers objets que l’humain est inventé, et ce pour plusieurs usages. Pour commencer à des fins d’utilités communes puis à des fins spirituelles.

  • Le Berceau du bol:

Historiquement, il n’existe aucune trace écrite sur l’origine du bol chantant, mais selon la tradition orale nous pouvons remonter aux Shamans animistique Bön, premiers habitants de la région transhimalayenne précédant l’actuel Tibet bouddhiste.

Ces bols traditionnels sont forgés à la main dans un alliage de 7 métaux qui donneront la richesse de fréquence engendrée par ces instruments.

  • Fonctionnement :

A l’aide d’un mouvement de friction circulaire ou en frappant sur le bord, ils émettent des sons et vibrations sonores.

  • Ses indications :

Ces vibrations vont pouvoir traverser notre corps pour aller atteindre et relâcher les tensions profondes.

Elles vont également permettent une puissante relaxation, une diminution du stress, de l’ anxiété, des troubles du sommeil, de la déprime .

De plus, la circulation énergétique, lymphatique, sanguine, les douleurs articulaires et musculaires seront améliorées.

  • Transmission d’un savoir ancestral :

Je tiens à remercier tout d’abord Maître Shree Krishna Shahi pour la diffusion de ses connaissances.Je suis très reconnaissante de Romain Celeyron Fondateur du Tigre Blanc Institut qui m’a fait l’honneur de venir partager son savoir en Bretagne. Merci à Florian qui m’a mis sur le chemin de Romain.

  • Romain Celeyron :

Il s’est formé pendant plus de sept hivers à l’art du bol chantant, auprès du maître Shree Krishna Shahi, de son fils Sujan et de sa fille Srijana. Praticien, formateur, musicien Romain perpétue la tradition.

Maître Shree Krishna Shahi :

est le pionnier dans le développement des techniques traditionnelles du bol chantant. Il commença à apprendre les secrets de ces sons qui guérissent à l’âge de sept ans, par le biais de son grand-père adoptif , Tashi Lama qui, chaque année, descendait des hauts plateaux de l’Himalaya par caravane de yacks afin de vendre du sel dans la vallée de Katmandou. Tashi Lama était issu d’une famille de shamans et utilisait les tambours, les plantes médicinales et les bols chantants dans la pratique de certaines techniques de guérison. Ce savoir lui fut transmis à travers les âges par ses pairs.

Une vie d’apprentissage

Quand il n’était qu’un enfant, Shree commença par s’entraîner à soulager la douleur des caravaniers. Puis au fil des années, il combina d’anciennes pratiques chamaniques avec l’ajout d’éléments modernes, comme l’utilisation des notes de musiques et leurs relations avec les chakras.

Son savoir, source d’Intérêt

Shree, a ardemment participé à l’introduction et la popularisation du savoir traditionnel du bol chantant à un niveau international. Depuis plus de 39 ans, il voyage autour du monde, parcourant plus  de 33 pays. Non seulement pour offrir ses soins et son savoir de la pratique du bol chantant, mais aussi en proposant des thérapies de relaxation dans les églises, les hôpitaux ou même les écoles de musique. Il fit aussi une tournée européenne de concerts de méditation pour le Dalaï-Lama.

Il a été consulté sur des propriétés de guérison des bols chantants, par des médecins du monde entier. Il reçut aussi la visite du Premier ministre Indien accompagné de plusieurs docteurs.

Transmettre par amour du partage

Tout au long de son parcours, Shree Krishna Shahi partagea son savoir en formant des gens de tous les pays et a été impliqué dans la création de divers centres de bols chantants comme aux États-Unis, en Pologne, au Japon ou encore en Corée du Sud pour n’en citez que quelques-uns.

Shree a aussi formé le népalais Santa Ratna Sakya qui, par la suite, devint son partenaire, ainsi que Hans de Barch pour les Pays-Bas et Peter Hess pour l’Allemagne. Certains des élèves de Shree perpétuent les pratiques originales et les développent à partir de ces bases, alors que d’autres travaillent sur leurs propres thérapies expérimentales et transforment la nature et la composition même des bols chantants à des fins commerciales.

C’est la raison pour laquelle l’institut du Tigre Blanc a pour mission de faire honneur à Shree qui dédia sa vie aux bols pour le bien des autres. Il est important que l’on sache où tout a commencé.

Shree sait combien l’histoire des bols chantants est intimement liée aux traditions Newari, à l’art de la vallée de Katmandou et aux cultures transhimalayiennes du sud et sud-est de l’Asie.*

*Sources :https://bolchantant.tigreblancinstitut.ch/qui-sommes-nous/